Thursday 16 May 2019

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Tuesday 14 May 2019

kue was named as koueda before changing it name to kue the same to bukaride was bukari






kue was named as koueda before changing it name to kue the same to bukaride was bukari Tableau 1. Liste des villages de la Plaine avec leur chiffre de population pour les années 1960 et 1964 (2) 1 964 1960 + BOULO Kpankpa!"a Kaliada Boukaride 957 50 6 3 1 016 KADIAHBARA FOLO BANDE BOLO 30 80 26 98 234 1250 1 1 217 33 3! ! 73 190 60 168 63 508 508 511 11 Il- 114 136 i 136 250 250 490 2 16 104 10 136 200 50 880 1l.j· 17 24 SOUROUKOU Atakorabonou Kakada TASSI AGBAYlASSOilllIOU ADAMDE , KOUEDA Garekopé DJARAPA?YGA Adjondo Peul Adjondo Konkomba Adjondo Nanamalde 1 Akalake Sakouda 2~ ..!.-!Eankpama Nond,a______ 54 1.018 1018 1 341~ 326! ! --y~- ..- ,-_._--.-,-""'; i - .~--:---:.--'~ , 3276 ;(1)3493 217i ------_._---- (1) Population du Canton de Fazao moins la population du village de Fazao. (2) En lettres capitales sont indiqués les villages ; en petits caractères, leurs hameaux Le fait le plus significatif est la diminution de 20 %de la popu￾lation de Djarapanga. Quant aux variations, en plus, présentées par les autres villages, elles sont à première vue insignifiantes en ce qui con￾cerne Boulo j par contre, relativement importantes pour Adamde (116 %) , Koueda (32 %). La diminution de 32 %de Tassi correspond au déclin du vil￾lage d'Agbamassoumou au profit d'Adamde. Une première constatation peut être faite : les villages du secteur Nord sont restés stables j ceux du secteur Sud se sont manifestés par leur accroissement j seul le secteur de Djarapanga de l'Ouest accuserait une réduction de population assez importante. Si nous anticipons, nous remarquons que le premier ensemble de villages est celui que l'on peut considérer comme étant le plus conservateur quant à son organisation poli￾tique ; le second, à la tête duquel est Souroukou, le plus riche économi￾quement parlant, est celui qui manifeste certaines initiatives, entre autres l'introduction de cultures pérennes destinées à l'exportation; le dernier se caractérise par sa position frontalière et, partant, par la mo￾bilité de sa population. Rappelons que ces divisions de la plaine corres￾pondent en partie à celles qu'il nous semble possible d'opérer du point de vue du géographe. Une étude plus poussée révélerait vraisemblablement l'existence de zones régionales spécifiques individualisées tant par le milieu, piedmont et plaine proprement dite, que par l'origine des popula￾tions. Cependant, ces quelques changements démographiques, d'intensité différente suivant les villages n'ont en aucune manière bouleversé l'or￾ganisation territoriale des communautés, organisation en rapport étroit avec l'effectif de population. Trois catégories de villages selon leur taille peuvent être distinguées très facilement, et en regard de chacune d'elles, décrites des organisations villageoises allant de la plus simple à la plus complexe j néanmoins toutes participent du même modèle de struc￾ture territoriale. Ainsi nous avons dans la première catégorie les villa￾ges à population inférieure ou égale à peu près à 500 habitants. Leur structure est simple : on n'y constate aucune division interne en quartiers (farendi ou baure). C'est le cas de Souroukou et de toutes les localités dont l'effectif ne dépasse pas ce chiffre. Dans la seconde catégorie en la￾quelle nous rangeons les villages comportant entre 500 et 1 000 habitants, Boulo par exemple, nous avons des agglomérations divisées en quartierE • Au-delà de 1 000 habitants (c'était le cas de Djarapanga en 1960, et l'est toujours malgré la forte diminution de population) nous découvrons à l'in￾térieur d'un quartier, des subdivisions bien établies portant chacune un nOfl qui lui est propre. A Boulo existent trois quartiers: Agbende, Kous￾sountou, Malouada ; à Djarapanga, il en existent trois aussi: Adjondo, Batamba, Akalake ; mais ce dernier est lui-même divisé en sous-quartiers Waragny, Parakou, Halouada. Cette classification des quelques villages de la Plaine serait inu￾tile si l'organisation territoriale ne s'y trouvait impliquée et de ce fait si le passage d'un village d'une catégorie à une autre n'entraînait pas quelques conséquences sociales intéressantes à cette échelle. Pour l'ins￾tant, retenons que le tiers de la population vit dans des villages à or￾ganisation simple dont l'un est en passe de se compliquer Souroukou, qu'un autre tiers réside dans un village complexe, et que le reste conna1t une organisation villageoise complexe et élaborée (Djarapanga). En outre toute augmentation ou diminution dans les années à venir ne manquera pas de jouer sur les structures foncières et politiques. Il convient également de considerer les harlleaux et les llconcessions" isolées. Très souvent autour des villages, et quelle que soit leur impor￾tance, se sont implantés des cultivateurs avec leur famille. Les hameaux q~'ils forment alors portent parfois le nom du paysan le plus anciennement établi: Boukaride, hameau de Boulo, qui signifie chez (de) Boukari, ou bien le nom de la rivière qui passe à proxinuté : Kalia (da), ou bien en￾core le nom du qu~rtier dont dépendent les hameaux ; la série des Adjon￾do du secteur de Djarapanga, avec comme qualificatif un nom d'ethnie peul, konkomba ••• Autour des villages de la première catégorie où sont groupées les localités dont le chiffre de population est inférieur ou égal à 500 habitants les hameaux sont peu nombreux i Souroukou en possède deux Atakorabonou, et Kakada. Près du village de la seconde catégorie Boulo, en gravitent trois : Konkomba, Boukaride et Kalide. I~ais c'est dans le secteur de Djarapanga, village de la dernière catégorie, qu'un certain habitat dispersé s'est développé à côté de l'habitat groupé qui reste dominant. Djarapanga comporte cinq hameaux ; Adjondo peul, Adjondo kon￾komba, Adjondo Nanamalde, Alaka Sakonda et Kpankpama Monda. Ainsi la par￾tie sud du piedmont, caractérisée par une certaine vocation agricole pour les produits d'exportation, présente uniquement un :~abitat groupé; celle du Nord, dans la mesure ou quelques hameaux supplémentaires sont significatifs, voit se créer des localités excentriques; aux environs de Djara￾panga est la zone de la plaine où la dispersion de l'habitat manifeste￾rait une tendanoe à se développer. Cependant. il ne faudrait pas surestimer ce phénomène de disper￾sion, comme le montrent les pourcentages de population résidant respec￾tivement dans les villages et dans les hameaux. TABLZB.U N°2 Tableau 2. - Répartition de la population par type d'habitat pour les années 1960 et 1964. ; Village 1 : Village 2 : Village 3 Hameaux 1 1964 t i1960 i1960 1964 1960 196+1960 1964 1 1 11182 1224 1 942 957 1082 8801 316 215 1 33 % 1 27 % 31 % 1 1 1 9 % 37 %! 29 %. 27 %! 7 % ! !

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Il ne faudrait pas non plus le négliger : très souvent les étrangers im￾migrants, car ce sont eux qui ont créé ces hameaux avec l'accord des vil￾lageois autochtones, n'ont pas la possibilité de s'installer dans les vil￾lages. Notons qu'ils tendraient même à la longue et si le mouvement d'im￾migration se prolongeait, (ce qui n'est pas le cas actuellement étant don￾né la position marginale de la région), à gonfler ces hameaux au point d'en faire de nouveaux villages. Cette transformation serait d'autant plus facile et nécessaire que dans la plupart des cas, les cellules qu'ils for￾ment sont fort éloignées des localités desquelles ils dépendent •published by ouro tchabu (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({ google_ad_client: "ca-pub-6383621328684649", enable_page_level_ads: true }); > 012587836936959310805:i3cil0-yu5e <